Tapages, c'est les attardés de l'avant-garde. Tapages, c'est du réchauffé, parce que la cuisine c'est pas notre truc. Tapages, c'est ceux qui croient qu'on a encore un corps en état de fonctionner. Tapages, c'est ceux qui pensent que le poème est un corps en action.
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Au sommaire : Franck Cottet Patricia Cottron-Daubigné Ludovic Degroote Ariane Dreyfus Antoine Emaz Etienne Faure Christian Garaud Christophe Lamiot Enos Corinne Le Lepvrier Camille Loivier Etienne Paulin Aurélien Perret Serge Ritman Yannick Torlini Christian...
être absent absenté à soi place le point de fuite de nous peut-être quelque part par-delà le nous comment faire en sorte que rien ne sorte du plein de rien tout ne sera jamais tout le corps une consistance impossible *** pourrait-il être pourrait-il n’être...
PARFOIS, RIEN NE PEUT, PASSER ENTRE LES MAILLES, DES MATINS, TOUT LE TEMPS. OUI PARFOIS ÇA SE BLOQUE. DANS L’IDENTIQUE. L’IDENTIQUE À MOI, QUI ME FIGE, COMME UN MIROIR, SANS TAIN. MON MOI EST D’UNE TRANSPARENCE, OPAQUE DANS LE QUOTIDIEN. DE LA PAROLE....
Tapages a le plaisir d'accueillir Nicole "Coline" Delvallée, que vous avez probablement déjà eu la chance de croiser ça et là sur le net. Circulez Sens Mue Cirque Simple Aussi Simples Sur pairs Posée Repère Pose Musique Simple Oser On sait plus où on...
dans le souffle de chaque dans le geste de chaque je suis le corps même empli de vie même de chaque je suis le corps tendu étendu du désir même même qui éructe encore quelques mots chaque fois encore je suis là encore mais même ailleurs la chair chaque...
maintenant si tu me demandes pourquoi je m’assois à cette table pour quelles raisons supérieures il y a que je m’assois à cette table face assis à toi assis à cette table je ne pourrai te répondre sans t’inviter d’abord à me suivre face à face qu’ensemble...
encore dans l’appréhension et, chaque instant qui passe chaque : souffle, ou plutôt redouter ici le déroulement redouter oui, le moindre craquement d’os. la moindre dislocation d’un mètre + un mètre + un mètre. au plus sombre de la nuit, de la terre et,...
ou bien : ne plus tenir cette position, ne plus admettre la gangrène du présent, et cette succession de maintenant + ici + chaque jour + demain ou bien, l’auto-persuasion : le monologue de votre peau, jusqu’au silence. ici la lutte est avant tout, le...
Il y a une façon particulière d’aborder Une phrase, juste. En effet, cette dernière œuvre de Denis Ferdinande, parue chez l’Atelier de l’agneau éditeur, n’est pas réellement un livre en soi, car le livre conventionnel – mais doit-il exister, ce livre...
ni vous qui pourtant travaillez à vos propres désagrégations ni vous, cette vibration dans l’espace, ce peu d’énergie à déployer avant de. ni vous et le glissement/gisement du vivant. ni vous qui pourtant travaillez nos décombres. et nos os ni vous pourtant...
Golem présenté sur le blog de Yannick Glaas : ici Le silence ! et le froid chez moi qui gémit Tu le sens ?! qui glisse au creux de tes bras Sur le bord des fenêtres grises ! Et ton œil Coule. Et se déchire ! J’entends les cris noirs Du béton, le bruit...
Et puis et puis rien qu’un instant rien qu’un tout petit instant du fond de tout ça rien qu’un instant encore mais rien oui rien qu’un instant oui rien qu’un petit rien un instant un petit instant de rien du tout mais qui meublerait bien tous ces grands...
Ça voulait ramper noir, jusque dans le creux de la gorge qui se déployait, lente, à vif, sur un cadastre de nerfs. Fourmillements des chairs, la fenêtre éclatait sa nuit sur le mur. Terne : on n’y voyait plus. On voulait, mais peu. Plus beaucoup, pas...
Lecture de Jean-David Lemarié je parole avec des mots je parole ma vie dans des mots qui sont les miens quand je parole le mot voudrait et moi je suis à l’intérieur à l’intérieur des mots et de la malangue et je veux au commencement d’un bout à l’autre...
Une contribution amicale de Yannick Glaas à retrouver ici Septembre de mai On ne fait un bon-vivant que chenille, lochée à une feuille de muguet peu avant : on décime, les autres fleurs, aux vents, tristes sans attaches tant qu'à faire qui ne vaille la...
Pourtant tu dépends du miroir, tu y adhères presque, tu peux enfin voir ce qui se tramait sous le voile, entre le voile gazeux et le miroir. Rien de particulier, rien qui soit digne d’être remarqué, rien non plus de palpable, ni matière parasite ou intermédiaire,...
CYCLE DE RENCONTRES POETIQUES PONTIFFROY-POESIE Des poètes en Lorraine Samedi 10 mars 2012, 16h-18h Médiathèque du Pontiffroy Place de la Bibliothèque, Metz Dans le cadre du Printemps des Poètes Pontiffroy-Poésie propose de donner la parole à des poètes...
Signalons la parution du quatrième numéro de la revue Résonnance générale avec un très beau sommaire où l'on retrouve notamment des textes de Serge Ritman et Philippe Païni (animateurs et fondateurs de la revue) ainsi que de Jean-David Lemarié. Sommaire...
Le paysage vu d'ici n'est qu'intérieur. L'espace d'un temps révolu déjà, le lieu de croyances et d'espoirs grands ouverts. Tu regardes le voile de pudeur fragile qui masque le miroir, tu contemples l'image abîmée, policée ou purifiée par la blancheur...
Tapages tient à vous signaler la récente naissance d'un blog consacré à Ghérasim Luca. Le site, véritable source d'interrogations, d'analyses, et de partage d'informations sur le poète roumain, a été crée par Serge Martin (alias le poète Serge Ritman,...
SEXIT / (*) La première fois que j'ai marché, c'était dans la merde. / ne gaspille pas la lumière du jour / rien n'est pareil à rien / J'aime J'aime J'aimeplus il y a 8 secondes Commenter J'aime J'aime J'aimeplus il y a 29 secondes Commenter J'aime J'aime...
mars t’achèvera comme il t’a commencé sans doute. mars t’achèvera à la racine le matin poursuivra coquille vide mars, sans doute, dans le titube, tombe, titube ne relève pas. la certitude d’être mucus du vivre d’être. poursuivra. ce matin nous recrachera...
ne scelle pas l’os au couchant de nos morts, le geste qui fend l’air comme le crâne. et la hache sur l’arbre (si) ronge et, la hache et la scie tronçonne dans chair, dans os branche (brisés) absorbe ta force (si), ta ronge ta fatigue systématisée camarade...
Petit retour sur la lecture qui a eu lieu le samedi 10 mars à Metz, où l'on a pu écouter – entre autres – quelques textes de Patrice Maltaverne. Deux d'entre eux sont reproduits ici. CLOUANGE A toi Seigneur Jésus. On n’a plus le droit de t’adresser aujourd’hui...