Tapages, c'est les attardés de l'avant-garde. Tapages, c'est du réchauffé, parce que la cuisine c'est pas notre truc. Tapages, c'est ceux qui croient qu'on a encore un corps en état de fonctionner. Tapages, c'est ceux qui pensent que le poème est un corps en action.
Le corps et le langage par Henry Meschonnic Entretiens avec Jean-Paul Desgouttes, 1995.
Lire la suiteNous signalons la parution d'un texte de Yannick Torlini dans le nouveau numéro de la revue BoXon : Nous ne présentons plus cette revue de qualité, mais nous pouvons déjà donner la liste des publiés pour le numéro 26 : Alain Robinet, A&dman, Charles Pennequin,...
Lire la suiteJa, chère madame ! et chaleureuse à l’entrejambe hospitalier sait-il comment elle dit côté jardin la femme pénétrée emplissait tout sur l’image cependant il cherchait le vaisseau fantôme parmi quelques fleurs rangées en bouquet de circonstance sa fête...
Lire la suiteil y a d’un bout à l’autre il y a toi de là à là et pas tout-à-fait et comme je me jette oui comme je me jette de toi à toi oui comme je me jette suspendu entre toi et toi de là à là comme le peut-être je suis le peut-être de l’entre toi et toi le peut-être...
Lire la suiteLa poésie permet de belles rencontres. C’est en demandant son avis sur Tapages à Alain Marc que nous avons commencé à parler de son manifeste « Une poésie publique est-elle possible », avec élan et intérêt. Avec son accord, nous reproduisons ici cette...
Lire la suiteAujourd'hui, lisons Olivier Thirion, le créateur de la revue nancéenne Les Refusés , qui a bien voulu nous faire parvenir un de ses poèmes. Nous l'en remercions vivement. La conscience se déploie comme une vague qui monte du large pour se replier sur...
Lire la suiteA fleur de peau J’ai pris le ventre mou A petits bras le corps Et j’ai planté le monde. Badigeonné de bleu, De blanc, pris la couleur En arbre petit sec. Au fond il était l’heure, Au fond. Je l’ai peuplé, le ventre. Et le soir s’animait Dans la nuit bleue....
Lire la suiteJe ne m'ensevelis dans aucune terre aucune nation aucune identité Je ne suis personne nulle part Je n'appartiens Je n'appartiens ni ma langue apatride comme la langue de ceux qui trop longtemps se sont tus Il dit que tout ça ne va pas non il dit que c’est...
Lire la suiteNous tenons à remercier chaleureusement le poète Charles Pennequin (que nous ne présentons plus) de nous avoir fait l'honneur de nous envoyer une contribution pour Tapages. Lisez et respirez, ça en vaut la peine ! Il faut pouvoir penser à partir de la...
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